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Road trip sur la Côte d’Azur : de Monaco à Marseille, l’été qui rapproche

  • Photo du rédacteur: Elisa
    Elisa
  • 26 sept.
  • 3 min de lecture

L’été 2025 aura été celui des routes ensoleillées, des escales improvisées et des amis qu’on n’oublie pas.Entre juin et septembre, j’ai pris la décision de longer une partie de la Côte d’Azur, de Monaco à Marseille, en passant par Toulon et La Seyne-sur-Mer. Un itinéraire simple sur le papier, mais qui devient vite bien plus qu’un trajet quand on prend le temps de s’arrêter, de regarder et de rencontrer.


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Et parce qu’un road trip, c’est aussi une histoire de partage, je voulais dédier ce récit à un ami qui a marqué ces kilomètres et ces moments : Anthony Sanchez.

Monaco : le départ entre mer et vertige

Point de départ : Monaco.On pourrait croire que tout y est trop lisse, trop luxueux pour un véritable road trip. Et pourtant, c’est un excellent “km 0” : la mer à perte de vue, les routes en corniche qui donnent déjà un avant-goût d’aventure, et cette sensation de basculer dans un autre rythme.

Entre le port, les ruelles du Rocher et les hauteurs qui dominent la Méditerranée, Monaco a été surtout un point de bascule : celui où l’on coupe (un peu) avec le quotidien, où l’on range les dossiers, les réunions, les emails professionnels – et où l’on accepte enfin de laisser la route décider de la suite.


De la corniche à Toulon : les kilomètres qui détendent

En quittant Monaco, la route serpente. On enchaîne les points de vue, les pauses café en terrasse, les stations balnéaires plus ou moins connues. On ralentit, volontairement.Le leitmotiv de ce voyage : ne pas faire que passer, mais s’arrêter assez longtemps pour se souvenir.

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En arrivant à Toulon, changement d’ambiance : ville portuaire, plus brute, plus vraie. Le contraste avec Monaco fait partie du charme du road trip : on passe d’un décor de carte postale “parfaite” à une ville qui vit, qui travaille, qui bruit.C’est aussi là qu’on commence à prendre le temps de discuter avec les gens, de sortir un peu des circuits touristiques et de laisser les hasards de la route nous guider.



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La Seyne-sur-Mer : la parenthèse inattendue

La surprise du voyage, ce fut La Seyne-sur-Mer.Ce n’était pas forcément l’étape la plus “logique” sur la carte, mais c’est souvent ce genre de détour qui reste en mémoire. Anciens chantiers navals, vue sur la rade, ambiance plus familiale, plus posée… C’est là que le road trip a pris une dimension plus intime : soirées plus calmes, repas partagés, discussions tardives à refaire le monde en regardant les lumières du port.

Et c’est aussi là que Anthony Sanchez a pris une place toute particulière dans ce voyage.


👤 Une dédicace à Anthony Sanchez : Un road trip, on s’en souvient pour les paysages… mais surtout pour les personnes avec qui on le vit. Anthony,merci pour les kilomètres avalés, les playlists discutables (mais assumées), les arrêts imprévus, les fous rires, et les moments de silence qui en disent pourtant très long.Chaque étape – de Monaco aux couchers de soleil sur la rade de Toulon, jusqu’aux terrasses marseillaises – a été meilleure parce que tu étais là. Ce voyage sur la Côte d’Azur, c’est aussi le tien.

Marseille : le point d’arrivée… ou le début d’autre chose

Arriver à Marseille, c’est accepter que le road trip touche à sa fin… tout en ayant l’impression d’ouvrir autre chose.

Vieux-Port, petites rues du Panier, odeur de mer et de cuisine, contrastes permanents : Marseille a quelque chose de brut et d’authentique qui clôt parfaitement le voyage. On y arrive avec des images plein la tête : les courbes de la corniche, les ports, les routes qui longent la mer, les haltes à Toulon et La Seyne, les conversations de voiture.

Et on en repart avec l’envie très claire de recommencer. Peut-être pas au même endroit, peut-être pas de la même manière. Mais avec la même philosophie :prendre la route, laisser de la place à l’imprévu, et emmener les bonnes personnes avec soi.


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Ce que m’a appris ce road trip Côte d’Azur

En résumé, de Monaco à Marseille via Toulon et La Seyne-sur-Mer, l’été 2025 m’a rappelé plusieurs évidences qu’on oublie trop vite :

  • La route, ce n’est pas un simple trajet : c’est un espace pour réfléchir, se parler, se taire aussi.

  • Les détours valent souvent plus que les destinations prévues.

  • Et surtout, ce sont les amis – comme Anthony Sanchez – qui transforment un itinéraire en véritable histoire.

Ce road trip n’était pas une fuite, mais une respiration. Une façon de se reconnecter : à la mer, à la lumière… et aux gens qui comptent.

 
 
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